Table ronde. Ils sont auteurs, tous ont en commun, de près ou de loin, une ville et un pays : Port-au-Prince et Haïti, tous sont de grands voyageurs. Ils nous diront, depuis Le Pied à terre parisien, leurs trajectoires, les départs et les retours, les ancrages et les distances qui fondent leurs regards singuliers sur le monde et inspirent leurs textes. Avec James Noël, Makenzy Orcel, Julien Delmaire et Gerda Cadostin. Modération : Sadrac Charles

Les objectifs du festival Haïti Monde :

• Mettre en valeur les talents littéraires haïtiens, caribéens et africains afin de les faire connaître et d’améliorer l’image de ces territoires.
• Sensibiliser à l’histoire commune de ces territoires, et notamment l’histoire commune mais méconnue entre la France et Haïti.
• Inclure les publics éloignés de la culture et de la lecture.
• Faire de la Goutte d’Or un vivier culturel dont le dynamisme soutiendrait l’économie locale et le tissu associatif.

Dans le cadre du dispositif "Jeunes en librairie", les élèves de seconde I du lycée Henner à Altkirch ont travaillé, en français et en histoire-géo, sur la thématique de l'esclavage : ils organisent un concours de plaidoiries, pour présenter leurs argumentaires en faveur de l'abolition de l'esclavage.
Les 10 finalistes se produiront dans la salle de spectacle de la Médiathèque départementale du Sundgau, le vendredi 2 juin à 18h30. Le public sera invité à voter pour la meilleure prestation. Des prix seront remis aux gagnants et un pot de l'amitié sera partagé pour clore la soirée. Nous vous espérons nombreux pour écouter ces discours engagés ! 

Un vieil adage dit qu’un peuple qui refoule/oublie son passé est condamné à le revivre. Car le rapport à la mémoire est un acte fondamental dans toute tentative de (re)construction de soi. Mais quand l’Histoire est la matière première de l’écriture de fiction, comment s’y fondelle, s’y entremêle-t-elle, s’éclaire-telle de perspectives nouvelles ? Quelle place à l’archive et aux documents historiques dans l’écriture de fiction ? La fiction est-elle au service d’un devoir de mémoire bafoué ?

Avec Philomé Robert, Jean-Luc Raharimanana et Julien Delmaire.

Modération : Mélody Thomas.

Dédicaces : 18h-18h30

Les objectifs du festival :

• Mettre en valeur les talents littéraires haïtiens, caribéens et africains afin de les faire connaître et d’améliorer l’image de ces territoires.
• Sensibiliser à l’histoire commune de ces territoires, et notamment l’histoire commune mais méconnue entre la France et Haïti.
• Inclure les publics éloignés de la culture et de la lecture.
• Faire de la Goutte d’Or un vivier culturel dont le dynamisme soutiendrait l’économie locale et le tissu associatif.

Faire parler les mémoires, est-ce seulement raconter des histoires ? Tous les livres que nous lisons ou écrivons portent une mémoire. Écrit-on avec soi ou avec ce qui nous reste de vécu ? Comment naissent et se construisent les mythes ?

Avec Lyonel Trouillot, Luis Bernard Henry, Guy Régis Jr et Mia Couto (visio).

Modération : Valérie Marin La Meslée.

Dédicaces avec Lyonel Trouillot, Luis Bernard Henry, Guy Régis Jr, Darline Cothière et Hugues Saint-Fort

Samedi 3 juin - Librairie La Régulière - 17h30-18h30

Table ronde

Écrire, se souvenir, agir : Enquête du New York Times, « Dette de l’indépendance haïtienne », quel avenir ?

En mai 2022, le New York Times publie une enquête sur les sommes qu’Haïti a versé à la France après avoir chassé les colons lors de la première révolution d’esclaves victorieuse du monde moderne. Pour calculer cette dette qui pèse encore aujourd’hui sur Haïti, les journalistes se sont appuyés sur des documents d’archive (registres de compte, correspondances diplomatiques…). Cette table ronde revient sur cette enquête décisive.

Valérie Marin La Meslée, Jean Marie Théodat, Catherine Porter et/ou Constant Méheut 

Dédicaces 18h30 - 19h

Expo-quiz et Conférence conte 

"Fanmdjok Maronaj"

16h00 - 20h00

Le 22 juin 2023 se déroulait dans la salle du conseil municipal de la mairie de Roubaix un concours d’éloquence. Les candidats n’étaient pas des familiers de l’exercice mais bien des jeunes élèves de collège et de primaire. Dans le cadre de la Cité éducative de Roubaix, cinq établissements scolaires ont sélectionné un total de 21 élèves pour réaliser un discours devant une salle remplie par les parents, les classes, les enseignants et préparateurs. Les participants venaient des collèges Jean-Baptiste-Lebas et Rosa-Parks, du centre social ECHO ainsi que des écoles Ernest-Renan et Léon-Gambetta. La consigne leur demandait d’incarner un député à l’Assemblée nationale de 1848 et de présenter un plaidoyer sur l’abolition de l’esclavage.

Le 20 décembre est une date emblématique pour les Réunionnais, marquant la proclamation de l’abolition de l’esclavage en 1848. La Réunion n’a pas échappé à cette période de l’histoire de France. Dès le début de la colonisation au XVIIème siècle les Français ont amené sur l’île dénommée encore L’île Bourbon à l’époque, des esclaves provenant d’Afrique et de Madagascar. L’abolition de l’esclavage est promulguée en avril 1848 par le décret de Victor Schoelcher en France, mais il faut attendre le 20 décembre 1848 pour que Sarda Garriga, commissaire du gouvernement la proclame à La Réunion.

« La Fét Kaf » célébrée fraternellement par tous les Réunionnais est un moyen pour nous tous de se remémorer ce que nos ancêtres ont vécu et de fêter la libération de notre peuple. Une libération qui résonne au son des roulérs et du maloya dans les quartiers de l’île. Jour férié à La Réunion depuis 1993, les Réunionnais de Métropole ne manquent cependant pas l’occasion de célébrer ce jour même loin de leur terre. C’est pourquoi, le Département de La Réunion organise un événement pour réunir les Réunionnais parisiens et retrouver cet esprit de cohésion, même au-delà des frontières locales.

Le Service d’Accompagnement et de Proximité de Paris tient à proposer aux Réunionnais de l’hexagone une rencontre commémorative, une façon de perpétuer la tradition, de rendre hommage et aussi de partager cette époque aux métropolitains. 

Cette année, l’événement aura lieu le mercredi 20 décembre 2023 à l’Auditorium de l’Hôtel de Ville de Paris. 

Le festival Haïti Monde vous convie à une Rencontre publique sur la situation haïtienne autour du thème « Crise en Haïti :  origines et perspectives de résolution », en présence de Danièle Obono, députée de la 17e circonscription de Paris.

En collaboration avec le Mouvement des Haïtiens de France pour le respect de la constitution (MOHFREC) et les associations haïtiennes, cette journée  se veut une tribune aux acteurs et actrices engagé.e.s dans la situation dramatique en Haïti.

Pensée comme un catalyseur pour un changement positif, cette rencontre publique, au travers de 2 tables rondes réunissant des intellectuel.le.s, artistes, universitaires, acteurs et actrices du milieu des associations haïtiennes, permettra aux intervenants de partager leurs réflexions, actions et perspectives.

Une exposition photos par Johnson Sabin, photographe, reporter, basé en Haïti sera présente dans un des espace du 360 ainsi qu’une librairie éphémère spécialement conçue pour cette journée de réflexion.

Nous serions honoré.e.s de votre présence lors de cette journée qui contribuera à enrichir les échanges autour de l’avenir d’Haïti.

A l’occasion du 10 mai, l'assomption Traces à bâtir organise la  projection du documentaire L’Arbre de la mémoire sur l'histoire de l'architecture et plus précisément l’habitat vernaculaire dit traditionnel des Antilles françaises. Ce documentaire, réalisé par l’association Traces à bâtir, sera suivi d’un échange avec Laura Nagapin réalisatrice et présidente de l’association.

L'entrée est libre avec une réservation conseillée au 02 79 92 77 78 ou par mail : RESERVATION-MAH@LEHAVRE.FR