Le samedi 8 juin est organisé à la salle Zéphyr, à Cayenne un spectacle choral " C(h)œur en résistance 2 avec : 

-EMMDK-

CMDT

- Vocali'b

- Choeur Morpho

- Choeur des Musiques Métisses

- Choeur de la Sainte Famille

- Ecole Roland Lucile 

- Collège Saint-Pierre

- Groupe Djokano - Troupe Dans'at et Triballen's

- Troupe Taekwondo Amja tkd

- Troupe Les Colombes

- Tarifs pré-vente:
Tout public: 12 €
- de 12 ans: 8 €
Tarifs sur place:
Tout public: 15 €
cde 12 ans: 10€

Pour les 30 ans du projet initié par l'UNESCO sur "Les routes des personnes mises en esclavage", le Choeur Philharmonique International, artiste de l'UNESCO pour la paix, donnera RHAPSODIES NOIRES, un concert pour chœur, soliste et quintette instrumental. 

Il vise à mettre en lumière les trois piliers du programme de l'UNESCO : RÉSISTANCE, LIBERTÉ, HÉRITAGE

Le concert est composé de deux parties : la première intitulée Héritages évoque les héritages musicaux de compositeurs afro-descendants, un voyage à travers les époques avec différents styles de musique (negro spirituals, oratorio, biguine, etc.). La seconde partie intitulée Rhapsody in black est une œuvre musicale jazz spécialement créée pour cet évènement par la compositrice Leïla Olivesi, prix Django Reinhardt 2022, sur des textes des grands poètes Aimé Césaire, Léopold Sédar Senghor, David Diop François Senghat Kuo et Michel Ducasse. Ces textes seront également lus par le comédien Jacques Martial.

Pour 30 ans du projet initié par l'UNESCO sur "Les routes des personnes mises en esclavage"

Le Choeur Philharmonique International, artiste de l'UNESCO pour la paix, donnera RHAPSODIES NOIRES, un concert pour chœur, solistes et quintette instrumental jazz.
Il vise à mettre en lumière les trois piliers du programme de l'UNESCO : RÉSISTANCE, LIBERTÉ, HÉRITAGE

Le concert est composé de deux parties :

Héritages : 200 ans de musiques africaines inspirées de l’Europe.  
Héritages évoque les héritages musicaux de compositeurs afro-descendants, un voyage à travers les époques avec différents styles de musique (negro spirituals, oratorio, biguine, etc.).

Rhapsody in black : 200 ans de poésie afro-descendante.  
La seconde partie intitulée Rhapsody in black est une œuvre musicale jazz spécialement créée pour cet évènement par la compositrice Leïla Olivesi, prix Django Reinhardt 2022, sur des textes des grands poètes Aimé Césaire, Léopold Sédar Senghor, David Diop François Senghat Kuo et Michel Ducasse. Ces textes seront également lus par le comédien Jacques Martial.
La scénographie de cette partie s’attache à montrer comment, partant de la sidération, ceux qui ont perdu en un jour nom, langue et croyances, ceux dont l’humanité s’est trouvée niée, ont pu puiser dans leurs racines pour arriver à créer des œuvres artistiques exceptionnelles, particulièrement dans le domaine musical.

Comment l’opéra français s’est-il emparé du thème de l’étranger, de l’exotisme et de l’esclavage au XIX° siècle ? Et comment la femme noire fut-elle considérée dans ce contexte ? Fut-elle Esclave … ou Reine ? Découverte du nouveau monde, renouvellement des cartes géographiques, rencontre de l’étranger … A l’époque où les réseaux sociaux n’existaient pas, tous ces sujets ont occupé les scènes de l’opéra, et l’esclavage ne fit pas exception ! Les anti-esclavagistes ont naturellement utilisé ce média pour dénoncer cette atrocité.

Engagée sur ces questions historiques et sociétales, je vous propose de vous évader en interprétant les mélodies et airs d’opéra composés à cette époque, sous ce nouvel angle. Accompagnée au piano par Spyros Thomas ou Guillaume Vincent et au violoncelle par Ella Jarrige, je construis autour des œuvres de Clapisson, Le Code Noir et de Meyerbeer, L’Africaine, une soirée musicale pour mettre en valeur les écrivains, musiciens, et compositeurs abolitionnistes de l’époque. Les mélodies célèbres comme Le Colibri de Chausson et L’Invitation au Voyage de Duparc ont alors une nouvelle couleur !

Comment l’opéra français s’est-il emparé du thème de l’étranger, de l’exotisme et de l’esclavage au XIX° siècle ? Et comment la femme noire fut-elle considérée dans ce contexte ? Fut-elle Esclave … ou Reine ? Découverte du nouveau monde, renouvellement des cartes géographiques, rencontre de l’étranger … A l’époque où les réseaux sociaux n’existaient pas, tous ces sujets ont occupé les scènes de l’opéra, et l’esclavage ne fit pas exception ! Les anti-esclavagistes ont naturellement utilisé ce média pour dénoncer cette atrocité.

Engagée sur ces questions historiques et sociétales, je vous propose de vous évader en interprétant les mélodies et airs d’opéra composés à cette époque, sous ce nouvel angle. Accompagnée au piano par Spyros Thomas ou Guillaume Vincent et au violoncelle par Ella Jarrige, je construis autour des œuvres de Clapisson, Le Code Noir et de Meyerbeer, L’Africaine, une soirée musicale pour mettre en valeur les écrivains, musiciens, et compositeurs abolitionnistes de l’époque. Les mélodies célèbres comme Le Colibri de Chausson et L’Invitation au Voyage de Duparc ont alors une nouvelle couleur !

26 Novembre 2014, 26 Novembre 2024... Voilà dix ans que le Gwoka, élément fort culturel et traditionnel de la Guadeloupe, a été inscrit par l'UNESCO sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. 2024 marquera le dixième anniversaire de cette reconnaissance internationale, et de ce fait, il nous semble, l'association PATORAY, en partenariat avec les instances régionales départementales  et communales,  judicieux d’organiser un évènement majeur majestueux et symbolique. Le gwoka, est bien plus qu'une expression culturelle et artistique ; il est une mémoire vivante de la résistance et de la résilience des populations esclaves de notre île. Cet héritage, qui trouve ses racines dans l'histoire tragique de l'esclavage, constitue une part essentielle de notre identité culturelle et de notre histoire collective. Pour marquer cette décennie d'hommage, nous organisons des festivités qui se dérouleront du 26 au 30 novembre en Guadeloupe. Cette célébration, sera une occasion exceptionnelle de rendre hommage à cette tradition, de promouvoir la diversité culturelle et de renforcer les liens communautaires à travers diverses activités telles que des concerts, des ateliers de percussion et de chant, des expositions, des spectacles de danse, et des conférences-débats sur l'histoire et l’évolution du gwoka.

Le Festival des Cultures Africaines (FESCA) est un événement culturel d’envergure célébrant la diversité de la culture africaine à travers l'art, la
musique, la danse, la gastronomie, la mode africaine et les traditions. Cet événement vise à mettre en lumière la beauté et la profondeur des cultures africaines, tout en créant un espace d'échange et de partage entre les différentes communautés. Dans le contexte actuel, le Projet FESCA prend une dimension particulière en tant que plateforme essentielle pour la promotion et
la préservation des cultures africaines. Dans ce cadre, nous nous engageons à fédérer la population africaine pour lutter contre la famine en restant solidaires, à sensibiliser la population à la lutte contre le terrorisme, et à promouvoir la compréhension interculturelle.

Tout d’abord, notre objectif est de propager la compréhension et l’admiration des cultures africaines, tout en célébrant la contribution
inestimable des Africains à la société. Cette opportunité exceptionnelle rassemble les jeunes Africains dans l’esprit de fierté et de partage de notre patrimoine culturel. Cette célébration met en avant les créations exceptionnelles de l’Afrique, encourageant le dialogue interculturel et
stimulant la convergence pour une satisfaction inégalable.