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Napoléon et l'Esclavage

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GRAND DEBAT EN LIGNE SUR NAPOLEON ET L'ESCLAVAGE
©operateursdememoire
Information organisateur
La Plateforme nationale des opérateurs de mémoire de l’esclavage

Napoléon et l'Esclavage

La Plateforme nationale des opérateurs de mémoire de l’esclavage

Depuis le 23 mai 2020, huit opérateurs de mémoire se sont regroupés pour
mutualiser leurs actions en faveur de la connaissance de l’histoire de la
traite, de l’esclavage et de leurs abolitions et d’en valoriser les patrimoines
matériels et immatériels.
Le 5 mai 2021 marquera le bicentenaire de la mort de Napoléon Bonaparte.
Ce dernier a laissé une empreinte profonde dans l’histoire de France et du
monde. Son rôle dans le rétablissement de la traite négrière et de l’esclavage
dans les colonies françaises reste encore trop méconnu.
Trois tables-rondes apporteront un éclairage sur les raisons et les
circonstances qui l’ont conduit à ce choix. Sur la base de la recherche
historique nous répondrons aux questions du public dans le cadre de trois
tables rondes.
La Plateforme nationale des opérateurs de mémoire de l’esclavage est
constituée des Anneaux de la Mémoire, de l’APECE (Association Pour l'Étude de
la Colonisation Européenne), du CIFORDOM (Centre d'Information, Formation,
Recherche et Développement pour les Originaires d'Outre-Mer), du CM98 (Comité
Marche 23 mai 1998), de la Coque Nomade Fraternité, de Mémoires & Partages,
de PROTEA, de la Route des abolitions et des Routes du Philanthrope.
Cette manifestation a le soutien de FER (Fondation Esclavage et Réconciliation)
et du fonds de dotation Henri Grégoire Germain Porte.

48.8488889, 2.3409309

Conférence-débat « La place de Rouen dans la traite négrière »

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Affiche
©rouen
Information organisateur
Hôtel de Ville

Conférence-débat « La place de Rouen dans la traite négrière »

18:30
-
20:00
Hôtel de Ville

A l'occasion de la journée nationale des mémoires de la traite de l’esclavage et de leurs abolitions, la Ville de Rouen organise une conférence débat le lundi 10 mai 2021 à 18h30 autour de la place de Rouen dans la traite négrière.

La conférence sera animée par Rebecca Armstrong et diffusée en direct sur Facebook en présence de :

- Joseph Carien, Président de l'association MAS A IYO

- Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen et Président de la Métropole Rouen Normandie

- Eric Saunier, Enseignant chercheur et Maître de conférence en histoire moderne à l'Université Normandie Le Havre

- Mathilde Schneider, Directrice des Musées Beauvoisine

- Laura Slimani, Adjointe en charge de en charge de la démocratie locale et participative, de l'égalité femmes-hommes, du Handicap et de la lutte contre les discriminations

- Dominique Taffin, Directrice de la fondation pour la mémoire de l’esclavage

49.443116, 1.0965959

Conférence "Rennes au pluriel"

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Affiche
©rennes
Information organisateur
Hôtel de Ville
Public invité
Ouverture tout public

Conférence "Rennes au pluriel"

Hôtel de Ville

Conférence à Rennes pour ouvrir l'édition 2021 de "Rennes au pluriel", et à l'occasion de la Journée nationale des mémoires de la traite, de l'esclavage et de leurs abolitions.

17h30 heure française et retransmis en ligne sur la chaîne YouTube Rennes Ville et Métropole.

48.12142675, -1.4603402778592

Ultramarins - Émission radio spéciale

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Visuel Émission Ultramarins
©Portail Outre-mer la 1ère
Information organisateur
France Info - Portail Outre-mer la 1ère

Ultramarins - Émission radio spéciale

France Info - Portail Outre-mer la 1ère

Présentation Thierry Belmont et Serge Massau 

Production France Télévisions 

26 minutes 

Une émission réalisée avec la collaboration de RFI et diffusée le 10 mai prochain sur le portail Outre-mer la 1ère26 minutes d’échanges et de discussions avec :

  • Frédéric Régent, maître de conférences en Histoire à l’Université de Paris 1 et ancien président du Comité national pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage.
  • Krystel Gualdé, directrice scientifique au musée d’histoire de Nantes et auteure de « Nantes et la traite négrière ».
  • Jean-François Manicom, conservateur au Musée international de l’esclavage de Liverpool et spécialiste de la traite transatlantique.

Le 10 mai 2001, le Parlement français adoptait la loi dite Taubira, qui reconnait la traite négrière comme crime contre l’Humanité et favorise son enseignement.

Depuis, le passé esclavagiste entre peu à peu dans l’espace public. À Paris, le décret de rétablissement de l’esclavage doit être pour la première fois exposé lors d’une exposition consacrée à Napoléon Ier. La statue de Colbert devant l’Assemblée nationale est remise en question. Et d’anciens ports français qui ont fait fortune grâce au commerce triangulaire, entament progressivement un travail de mémoire.

La ville de Nantes a inauguré le Mémorial de l’abolition de l’esclavage en 2012. Pourtant, les mouvements contemporains pour l’égalité et contre les discriminations, qui se revendiquent souvent en héritiers des victimes de l’esclavage, provoquent aussi des crispations dans la société, jusqu’au sommet de l’Etat. Une question qui reste d’une actualité brûlante, puisqu’en juin de l’année dernière, le Parlement européen était la première institution internationale à reconnaitre la traite de l’esclavage comme un crime contre l’Humanité, suite au vote d’une résolution portée par l’eurodéputé de La Réunion, Younous Omarjee.

Vingt ans après la loi Taubira, comment l’histoire de l’esclavage est–elle enseignée et présentée au grand public ? Un musée à Paris, un mur des Noms, déboulonner des statues : quelle réponse mémorielle apporter ? Comment la France et l’Angleterre, deux anciennes puissances coloniales, prennent-elles en compte cette histoire et ses enjeux mémoriels contemporains ?

    48.8395671, 2.268831

    Regards sur l'esclavage - Présentation d'ouvrages, de films et de CD

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    Logo ville de Salles
    ©Salles
    Information organisateur
    Médiathèque

    Regards sur l'esclavage - Présentation d'ouvrages, de films et de CD

    Médiathèque

    À l’occasion du 20ème anniversaire de la loi Taubira, la municipalité organise une journée spéciale autour de l’abolition de l’esclavage le samedi 22 mai et propose différentes rencontres autour de ce thème du 11 au 22 mai.

    Présentation d’ouvrages, films et CD autour de ce thème.

    44.550899, -0.8643298

    « Le corps de l’histoire » de Fabienne Kanor

    « Le corps de l’histoire » de Fabienne Kanor

    19:00
    Musée d'Aquitaine

    La performance artistique de Fabienne Kanor, intitulée Le corps de l'histoire, sera diffusée en avant-première sur la page Facebook et sur le chaine YouTube du musée d'Aquitaine le mardi 11 mai à 19 heures. Un moment d'échange avec Fabienne Kanor sera ensuite animé par le musée d'Aquitaine en LIVE exclusivement sur la page Facebook du musée d'Aquitaine.

    Le corps de l'histoire est une performance multimédia de Fabienne Kanor. L'écrivaine raconte des histoires de l'histoire en replongeant dans ses mémoires d'afro-descendante et dans les archives coloniales. De la cale du bateau négrier au racisme systémique qui persiste à tuer, l'auteure et performeuse propose une traversée poétique de l'Histoire et un rituel de délivrance filmés par Andrew Ellis Sutton et "mis en souffle" par David Fauquemberg, à l'harmonica. 

    Durée : 35-40'

    Fabienne Kanor est écrivaine et réalisatrice. Elle est notamment l'auteure de Humus (prix RFO 2007) et de Je ne suis pas un homme qui pleure (2016, Prix Casa de las Américas 2020). Son dernier roman, Louisiane, a été publié en février 2020 (collection Littérature Rivages). 

    44.8355752, -0.5772488

    "Le corps de l'histoire" une performance multimédia de Fabienne Kanor

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    ©fabiennekanor
    Information organisateur
    Musée d'Aquitaine
    Action labellisée par la fondation
    Public invité
    Ouverture tout public

    "Le corps de l'histoire" une performance multimédia de Fabienne Kanor

    19:00
    Musée d'Aquitaine

    Le corps de l'histoire est une performance multimédia où Fabienne Kanor raconte des histoires de l'histoire en replongeant dans ses mémoires d'afro-descendante et dans les archives coloniales.

    De la cale du bateau négrier au racisme systémique qui persiste à tuer, l'auteure et performeuse propose une traversée poétique de l'Histoire et un rituel de délivrance, filmés par par Andrew Ellis Sutton et « mis en souffle » par David Fauquemberg à l'harmonica.

    Fabienne Kanor est écrivaine et réalisatrice. Elle est notamment l'auteure de Humus (prix RFO 2007) et de Je ne suis pas un homme qui pleure (2016, Prix Casa de las Américas 2020). Son dernier roman, Louisiane, a été publié en février 2020 (collection Littérature Rivages). 

    Rendez-vous mardi 11 mai à 19 heures sur Facebook ou YouTube

    La diffusion en avant-première sera suivie d’un bord de scène virtuel avec l’artiste, à partir de 19h40.

    Un événement organisé par le musée d’Aquitaine dans le cadre des Journées de la mémoire de Bordeaux, avec le soutien de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage et de la mission Égalité, Diversité et Citoyenneté de la Ville de Bordeaux.

     

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    Documentaire inédit "Les statues de la discorde"

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    ©outremer1
    Information organisateur
    Outre-mer La 1ère
    Public invité
    Ouverture tout public

    Documentaire inédit "Les statues de la discorde"

    18:00
    Outre-mer La 1ère

    À l'occasion de la Journée nationale des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions, ainsi que des 20 ans de la loi Taubira, le portail Outre-mer La 1ère vous propose un film inédit de 52 minutes sur l’action de jeunes Ultramarins contre les statues représentant notamment Joséphine de Beauharnais, et ce avant le mouvement Black Lives Matter.

    De la Martinique à La Réunion, de Paris à Saint-Ouen, Les Statues de la discorde explore ce débat contemporain aux multiples facettes, en allant à la rencontre de militants et d'intellectuels qui défendent la lutte contre le racisme.

    C’est l’histoire d’une jeunesse qui s’attaque aux symboles du passé pour changer le présent. Le combat d’une nouvelle génération qui dénonce le racisme et les discriminations comme héritage social de l’esclavage et de la colonisation. Ils déboulonnent les statues et les plaques de rue à la gloire du passé colonial de la France, pour appeler à la justice, à l’égalité et à la reconnaissance d’une histoire effacée. Face à eux, le vieux monde semble de marbre, sourd aux revendications. Chez les historiens, la question divise. Faut-il retirer des rues les symboles d’un passé que certains ne veulent plus voir ? Comment faire la lumière sur des pans douloureux de l’histoire sans pour autant rouvrir des blessures susceptibles de déchirer la société ?
     

    Écriture et réalisation Émile Rabaté • Production Beau Comme Une Image • Durée 52 minutes • 2020

    48.8221951, 2.3004462

    Exposition virtuelle "La traite négrière rochelaise au XVIIIe siècle"

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    Information organisateur
    Archives départementales

    Exposition virtuelle "La traite négrière rochelaise au XVIIIe siècle"

    Archives départementales

    Depuis de nombreuses années, les Archives départementales favorisent la recherche sur ces thématiques en donnant accès aux fonds et en menant différents projets d’action éducative et de valorisation.
    L’exposition Un commerce pour gens ordinaire ? La Rochelle et la traite négrière au XVIIIe siècle organisée en 2010 et sa déclinaison en exposition itinérante Chairs noires, pierres blanches, La Rochelle et Rochefort, ports négriers, réalisée par l’Association rochelaise pour la coopération l’animation et la diffusion documentaire (ARCADD) constituent à la fois l’aboutissement d’un premier travail d’histoire et le point de départ de nouvelles recherches.

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    Fonds conservés aux archives départementales de la Charente-Maritime

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    Information organisateur
    Archives départementales

    Fonds conservés aux archives départementales de la Charente-Maritime

    Archives départementales

    Guide des sources de la traite négrière, de l'esclavage et de leurs abolitions, XVIe-XXe siècles

    Qu’il s’agisse de fonds publics (Amirauté, Chambre de commerce, actes notariés) ou de fonds privés (papiers de familles), ils sont autant de traces de cette histoire qui lie la Charente-Maritime, le continent africain, les Antilles, Saint-Domingue et la Réunion.

    Les fonds d’archives permettent d’appréhender le fonctionnement de ce commerce « ordinaire » pour l’époque, d’identifier des noms de navires, de marchands, de capitaines, des lieux (hôtels particuliers, raffineries, entrepôts), de calculer ou d’estimer des quantités de marchandises (matériels, denrées, esclaves). Un travail nécessaire pour connaître et comprendre, reconnaître, se souvenir et transmettre.

    46.1420723, -1.1530155