Vendredi 12 mai, 10 heures-17 heures, la « Roue du plaisir » propose de comprendre l’histoire qui se cache derrière des produits du quotidien liés à l’esclavage comme le chocolat ou le coton, à Darwin Eco-Système.

L’association Mémoires et Partages a imaginé une façon ludique d’aborder sur la voie publique le thème sensible de l’esclavage, dans le cadre du projet municipal de Maison contre les esclavages
C’est la dernière création de l’association Mémoires et Partages, dédiée à la mémoire de la colonisation, de la traite des noirs, de l’esclavage et du racisme. Un jeu innocent de prime abord : une sorte de roue de la fortune, qui a été présentée quai des Chartrons, à Bordeaux, le 14 octobre. Chaque case de la roue (il y en a six) comprend un chiffre mystérieux : 40K, 60K, 790K… Le jeu consiste en fait à demander des explications ! Chaque chiffre renvoie à la question de l’esclavage. 40K, par exemple, fait référence aux minerais qui entrent dans la fabrication des smartphones : selon l’Unicef, en 2014, environ 40 000 enfants travaillaient dans des conditions périlleuses dans les mines du sud de la République démocratique du Congo pour extraire le cobalt.

source : https://www.sudouest.fr/politique/a-bordeaux-une-roue-des-plaisirs-pour…

Rencontre littéraire avec Aurélie Bambuck, co-auteure de "Pacotille, l'enfant esclave", une bande dessinée qui raconte l'histoire d'une petite fille, Nzinga, arrachée à son Angola natal par des colons portugais et emmenée en Martinique.

Du Maroni au Mississipi

activités peintures, gastronomies et artisanat + restitution 

8h00-18h30 à la Gare Routière

Les élèves des classes de 4 e du collège Maximilien-de- Sully ont présenté à leurs professeurs et à leurs camarades une exposition sur « la traite négrière ».
C’est à l’heure de la récréation que les élèves des classes de 4 e du collège Maximilien-de- Sully ont mis la dernière main à l’exposition sur la traite négrière qu’ils ont préparée tout au long de l’année, avant de la faire découvrir à l’ensemble de leurs professeurs et des collégiens.

L’exposition, très riche, se décline en rédactions, poèmes en espagnol, illustrations sur l’esclavage antique, quiz, lectures enregistrées, dessins, particulièrement réussis, et arbre de la liberté reprenant les événements marquants de l’esclavage jusqu’à son abolition.

Initiation à l'Awassa, une danse traditionnelle bushinengué, et à la fabrication de Kawaï, un instrument de percussion traditionnel créé à partir de graines, est présent dans toutes les cultures afro-amazoniennes et Africaines

Samedi 20 mai, une soirée ghanéenne aura lieu dans la salle au 23 rue Gouffrand, organisée par l’association Kalina’Go et la Fédération française des clubs de l’Unesco. La soirée prévoit un documentaire sur le commerce des esclaves et sur le Ghana moderne, des danses, des chants et une part belle à la gastronomie ghanéenne. Le lycée Toulouse-Lautrec et le lycée JM-Michotte de Cayenne, en Guyane, en profiteront pour se rencontrer car ils ont déjà commencé à correspondre.

Exposition en accès libre du jeudi 25 au samedi 27 mai de 10 h à 17 h
Suivez le guide... ou plutôt les guides ! Des élèves de 4e du collège Jean-Jaurès de Castanet-Tolosan se font passeur·ses de mémoires et vous emmènent visiter l’exposition #C’estNotreHistoire préparée par la Fondation pour la mémoire de l’esclavage. Venez rencontrer les acteurs et actrices du long combat pour l’abolition de l’esclavage, découvrir ou redécouvrir des personnages dont l’engagement pour les libertés et l’égalité est parfois méconnu. Ce sont leurs histoires qui vont vous être racontées.

Visite avec Sandrine Richard-Lévêque

En partenariat avec la Fondation pour la mémoire de l'esclavage (FME)

Créé en 2017, L’histoire à venir est un festival d’histoire et de sciences sociales novateur qui a pour ambition de montrer que l’histoire peut et doit nous aider à comprendre les enjeux des débats contemporains. Du 24 au 28 mai, la 6e édition du festival proposera, dans 30 lieux, plus de 80 rencontres avec des chercheur·ses en histoire, en sciences humaines et sociales, auteur·rices, artistes et journalistes.

Atelier avec Antoine Guégan

Case départ (Thomas Njigol, Fabrice Éboué et Thomas Steketee, France, 2011) et Sankofa (Haile Gerima, 1993) sont deux films qui reposent sur le principe d’un voyage dans le temps. Des personnages noirs sont ainsi confrontés à la réalité de l’esclavage. Il s’agira alors de comprendre comment cette « rencontre » avec l’esclavage sert des enjeux différents. Dans Sankofa, le retour dans le passé confronte les descendant·es d’esclaves à leur histoire afin qu’ils puissent mieux lutter dans le présent. Dans Case départ, il s’agit d’accepter ce que la société contemporaine offre, puisque la situation actuelle est toujours meilleure que l’esclavage.
 

En partenariat avec la Fondation pour la mémoire de l'esclavage (FME)

Créé en 2017, L’histoire à venir est un festival d’histoire et de sciences sociales novateur qui a pour ambition de montrer que l’histoire peut et doit nous aider à comprendre les enjeux des débats contemporains. Du 24 au 28 mai, la 6e édition du festival proposera, dans 30 lieux, plus de 80 rencontres avec des chercheur·ses en histoire, en sciences humaines et sociales, auteur·rices, artistes et journalistes.

Atelier coiffure bushinengue, confection de pangi, initiation au tambour

Entrée libre dans la limite des places disponibles

Rencontre littéraire avec Fabienne Kanor, auteure de La Poétique de la cale, à la librairie Le Passeur.

Une programmation en partenariat avec l’Institut des Afriques et la Fondation pour la mémoire de l’esclavage.